CyberImpact

Mieux comprendre les citoyens qui s’expriment dans l’espace cyber pour mieux les protéger

  • Sécurité

  • Promotion 5

Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN)

Ministère de l'intérieur | 92130 Issy-les-Moulineaux

Data science, Data engineering

L’équipe

Le contexte

La Gendarmerie nationale, c’est 130 000 femmes et hommes au service de la population sur 95% du territoire physique. Mais c’est aussi une présence dans l’espace numérique, à travers plusieurs services et interfaces (Je donne mon avis, Percev@l, ServicesPublics+, les réseaux sociaux, cybermalveillance.gouv.fr, etc.).

La problématique

Malheureusement, ces interfaces ne sont pas corrélées, créant un éparpillement des données qui empêche la constitution d’une vision consolidée, ainsi qu’un pilotage simple des actions en ligne.

Le terrain de jeu

Prenant place au sein des équipes de la Gendarmerie nationale, le défi consiste en la création d’un outil qui permettra d’abord de rapatrier les données des interfaces numériques et de les homogénéiser, pour ensuite les suivre, les exploiter et les visualiser de manière pertinente.

Les défis techniques

La solution :

  • intègrera 3 piliers principaux : la visibilité (proximité numérique), la perception des usagers et les actions (conseils et prévention, signalisations et démarches)
  • proposera des data-visualisations correspondant aux besoins métier qui auront été identifiés : un premier cas d’usage concernera la cartographie des besoins des usagers des services en ligne de la Gendarmerie nationale, pour vérifier la pertinence de l’offre proposée.
  • sera conçue avec les designers et développeurs internes

L’impact 

L’outil conçu ouvrira le champ des possibles pour les gendarmes qui pourront :

  • suivre en temps réel l’impact de leurs actions en ligne, notamment la qualité de la proximité numérique avec les citoyens
  • mieux comprendre les citoyens
  • adapter leurs actions physiques/en ligne et mettre en adéquation les moyens humains et financiers déployés
  • réagir à des signaux faibles (mouvements de foule, panique numérique, diffusion en masse de rumeurs erronées, etc.) et à tous types de crise (climatique, écologique, sanitaire, etc.)

L’ensemble concourra vers une meilleure protection des citoyens.